J'ai un aveu à te faire
👻 Je suis un no-show... 👻

Et je ne suis pas le seul.
Pourquoi ?
C'est l'époque qui veut ça.
Sans doute.
Plus sérieusement, c'est dû au besoin que l'on à tous de prendre plus de temps pour nous. De prendre du temps pour les choses qui comptent vraiment pour nous. C'est l'effet Post-COVID.
Philippe Cahen l'expliquerait sans doute mieux que moi.
C'est l'expert français sur les signaux faibles. A suivre
Tendance lourde ou envie passagère ?
Je crois qu'il s'agit d'une tendance lourde. C'est un mouvement qui n'est pas prêt de s'arrêter.
Il va donc falloir en tenir compte dans les propositions de parcours.
Parce qu'un No-Show veut vraiment suivre le contenu. Le moment est mal choisi pour lui.
Quelles solutions ? Faut-il les prendre en compte ?
Oui, c'est essentielle à prendre en compte
Quelques solutions :
1/ Prendre plus en considération les désirs des participants.
2/ Sortir de la vision mono-centrée organisateur.
3/ Travailler les parcours de chaque participant
4/ Engager grâce à l'avant-événement
5 / Créer un faire venir incontournable
Les solutions sont nombreuses.
Elles nécessitent ouverture et manière de faire différentes.
On en parle ?
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